Accord sur les astreintes : sans la CFDT
La CFDT ne signera pas le nouvel accord sur les astreintes. En cause, le mode de récupération des interventions.
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La CFDT ne signera pas le nouvel accord sur les astreintes. En cause, le mode de récupération des interventions.
Les représentants du personnel du centre de relations clients de l’établissement de Paradis ont alerté la direction sur la dégradation des conditions de travail et du service clients. Cette situation, loin d’être localisée, est au contraire l’exemple de ce qui se passe aujourd’hui dans le groupe.
Le 19 avril s’est déroulée une réunion plénière du Comité d’Entreprise. Au menu : l’organisation de la direction des investissements, information sur le rattachement à la direction retraite du développement retraite, les temps de déplacement, premières réflexions du le digital dans le groupe…
L’intéressement 2017 a été versé (voir notre article du 7 avril 2017 : l’intéressement nouveau est arrivé). Un supplément d’intéressement a été proposé à la signature des organisations syndicales pour “maintenir la motivation des salariés, nécessaire à la croissance des résultats du groupe“. la CFDT a signé cet accord.
Le 13 avril s’est tenue l’ultime séance de négociations sur les minima salariaux de la profession. Les employeurs ont enfin, après trois réunions, une mobilisation forte des salariés, une entrevue avec la présidence ARRCO AGIRC, proposé une vraie revalorisation de tous les salaires.
Le compte rendu : où il est question des flux entrants courrier, du plan de recrutement de la DSI, des challenges des commerciaux et des assistant(es), de la direction des investissements…
Le 6 avril s’est déroulée la commission intéressement 2017. Les sommes distribuées seront presque identiques à celles de l’année dernière.
La direction deviendrait-elle sourde à nos revendications ? Deviendrait-elle aveugle aux effets pervers de certaines décisions ? Nous ne voulons pas y croire, et pourtant…
L’intersyndicale CFDT, CGC, CGT, FO, UNSA et SUD fait le point sur les négociations annuelles obligatoires, dans le groupe et dans la profession.
C’est un séisme dans le paysage syndical. La deuxième mesure de la représentativité des organisations syndicales du secteur privé hisse la CFDT en tête des organisations syndicales représentant les salariés du secteur privé, à 26,37 %. Elle devance la CGT qui, à 24,85 %, est reléguée en deuxième position – une situation…
Le 23 février s’est déroulée une réunion CE. A l’ordre du jour : plan d’actions commerciales, flux entrant des courriers, point sur la retraite complémentaire, vote du budget du CE… Flash infos de la réunion.
Une centaine de déplacement pour l’ensemble des négociateurs furent nécessaire pour amener la direction à discuter d’un accord sur le temps de mission. Une obligation légale dont notre employeur ne s’est pas acquitté jusque-là.
Les organisations syndicales doivent donner pour le 13 mars leur réponse sur la proposition d’augmentation collective des salaires proposée par la direction : 0,6% maximum d’augmentation pour un tiers des salariés.
En parallèle aux négociations sur les salaires, la direction a ouvert une discussion sur un complément à la prime d’intéressement 2017 de 250€.
Les organisations syndicales devaient donner pour le 13 mars une réponse à la direction sur la signature des accords salariaux AG2R REUNICA. La CFDT a consulté ses adhérents et a pris position : pas de signature de l’accord salarial.
Le 31 janvier, les employeurs de notre profession proposait 0,6% d’augmentation des rémunérations minimales (RMMG) mais en bloquant la garantie d’augmentation de 85% des autres salaires. La CFDT, la CGT, FO, la CGC et la CFTC dénoncent une mise en danger de la convention collective.
Mais quelle fin ? Le 3 mars, les organisations syndicales ont fini par arracher une augmentation collective des salaires. Mais la dernière proposition de la direction ne serait applicable qu’aux 30% des salariés qui n’ont pas été augmenté depuis deux ans.
Le 23 février, les élus du Comité d’Entreprise ont voté le budget des prestations 2017. Un budget historique : jamais nous n’avions eu à constituer un budget aussi contraint. Baisse de la masse salariale, déficit en fin d’exercice 2016, nécessité d’avoir des réserves : c’est plus de 700 000 euros…